Un whisky ?


C'est bien connu, le whisky détend le corps et l'esprit.
Le whisky c'est aussi LA boisson de Aimer l'art puis s'ennuyer...
Écossais (whisky) ou irlandais (whiskey), il est comme un autre personnage essentiel, avec ses humeurs, ses expressions, ses effets, ses secrets. Il réconforte, il réchauffe, il enivre, il exalte la sensualité, il encourage, il délie la langue, il apaise, il embrouille l'esprit, il éveille l'introspection, il révèle les amitiés, il empoisonne parfois...

 
J'aime le whisky, irlandais ou écossais (non tourbé), ses couleurs, ses tempéraments, ses paysages...
C'est très naturellement qu'il a pris cette place si particulière dans le récit. Il m'arrive souvent d'écrire en fin d'après-midi jusqu'au soir et j'aime siroter cet onctueux liquide ambré à ce moment là du jour. 

 

 

Pendant que je rédige ces quelques lignes, je déguste un single malt écossais de l'île d'Arran (au Sud des Iles Hébrides), rond, frais, riche avec un petit rien de noisette. Suffisamment de caractère, de délicatesse et d'élégance pour accompagner un petit set d'écriture légère. Il possède en plus un magnifique logo.

 

 

Le whisky dans Aimer l'art puis s'ennuyer... a peut-être des vertus de révélation et de franchissement, ou est-il simplement là parce que l'alcool est un hôte incontournable de nos inspirations ?

Vous soupçonnez déjà les effets du breuvage doré dans ces dernières lignes... Non, non, il n'en est rien ! Acceptons plutôt qu'il puisse tenir ce rôle singulier dans le roman parce qu'il y est un complice, un passeur, un liant.

 

L'abus d'alcool est évidemment dangereux pour la santé.


 

A WHISKY ?

It is well known that whisky relaxes body and mind.

Whisky is also THE drink of Aimer l'art puis s'ennuyer ... Scottish (whisky) or Irish (whiskey), it is like another essential character, with its moods, its expressions, its effects, its secrets. It comforts, it warms, it makes drunk, it elates sensuality, it encourages, it loosens the tongue, it calms, it confuses the mind, it awakens introspection, it reveals friendships, it sometimes poisons ...

I like whiskey, Irish or Scottish (not peaty), its colors, its temperaments, its landscapes ... It is very naturally that he took this special place in the story. I often write in the late afternoon until evening and I like to sip this creamy amber liquid at this time of the day.

While I am writing these few lines, I am tasting a Scottish single malt from the Isle of Arran (south of the Hebridean Islands), round, fresh, rich with a touch of hazelnut. Enough character, delicacy and elegance to accompany a small, light writing set. It also has a beautiful logo.

The whisky in Aimer l'art puis s'ennuyer ... has perhaps some virtues of revelation and crossing, or is it simply there because alcohol is an essential host of our inspirations? You already suspect the effects of the golden drink in these last lines ... No, no, it is not!

Let us rather accept that it can play this singular role in the novel because he is an accomplice, a sociable.

The abuse of alcohol is obviously dangerous for health.





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