art, ennui et aspirine
Un mois que je lis, relis, triture, structure, ajoute, défait. J'engueule les virgules, me sépare des points d'exclamation, je maudis les accords du participe passé, je dénonce les accords du verbe et j'atomise les coquilles (je sais bien que certaines, plus vicieuses que d'autres, échappent à ma vigilance).
Bref, J'ai encore une semaine pour clore ce "chapitre" et faire valider la maquette et la nouvelle couverture du second volet de Aimer l'art puis s'ennuyer avant l'impression.
Ah non, j'oubliais, écrire ce satané résumé de la quatrième de couverture....
En attendant, j'ai eu le plaisir de lire une petite chronique "exaltée" écrite par Emma, une personne qui suit mes aventures d'auteure sur Instagram.
La première version de la couverture du roman n'est pas étrangère à ses mots et cela me plaît beaucoup.
La voici :
📚 Exaltant 📚
Avant je m'ennuyais et j'ai fini par aimer l'art.
Puis un jour, un sage m'a dit :
"l'art et l'ennui sont des occasions de se confronter à celui ou celle que nous sommes."
Bref, j'aime l'ennui.
C'est à partir de là que la créativité fleurie.
Brigit
Bosch ne vous dira peut être pas le contraire. Avec sa plume, elle a
réussi à créer une ambiance totalement immersive, dans son premier
roman, Aimer l'art puis s'ennuyer, on ne s'ennuie pas. C'est un thriller
dans le monde de l'art contemporain. On y voyage, de Toulouse à Venise
en passant par bien d'autres magnifiques villes. On vibre avec Estelle
Rambrant et Jason Gloves... on visite divers musées en plongeant dans
certaines oeuvres. On part dans une enquête exaltante. J'ai plongé et
me suis fondue dedans comme une aspirine au fond d'un verre d'eau. 😉
Vous pouvez me retrouver sur Instagram
@brigitboschauteure
Et promis, d'ici une dizaine de jours...
À bientôt.
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